Je crois que ça faisait une semaine que je n'avais pas allumé un ordinateur (pas le top pour celle qui souhaite se faire appeler blogueuse, j'avoue !). En ce moment, même si je n'ai pas du tout envie de laisser tomber ce blog ni mes autres activités, je n'ai à peu de chose près qu'une seule préoccupation : quand bébé va-t-il sortir ?
Il parait que les dernières semaines de grossesse sont les plus longues. Pour ma part j'ai l'impression que la date butoire arrive de plus en plus vite bien qu'en même temps l'attente de ce moment, qui quoi qu'il arrive se produira de façon impromptue, semble éternelle.
Je ne sais pas comment cela se passe pour les autres mamans mais chez moi cette attente apporte également son lot d'angoisses. A cet instant où l'on sait que le bébé que l'on porte depuis tous ces mois est "fini", la responsabilité de sa survie semble encore plus grande. Avant cela on sait que notre utérus est l'endroit le plus sûr pour lui mais, au moment où il devient certain qu'il serait viable à sa naissance, le garder à l'intérieur donne encore plus de responsabilité. Surveiller qu'il va bien, qu'il bouge suffisamment souvent et suffisamment fort est primordial.
C'est comme ça que, trouvant bébé un peu faiblard, je me suis mise à psychoter jusqu'à finalement me retrouver en observation à l'hôpital pendant 24h en milieu de semaine, à me demander si tout allait bien, si rien n'allait foirer, parachutée là-bas toute seule alors que mon amoureux était à son travail... Venue pour un simple contrôle, j'avoue avoir assez mal vécu de ne pas être libérée après des résultats pourtant bons. Le protocole habituel parait-il. Dans ce cas j'aurais préféré le savoir dès le début pour avoir le temps de m'y faire plutôt qu'on m'annonce ça quelques minutes avant de me conduire en cellule (parce que, oui, c'est un peu le sentiment que j'ai eu en arrivant dans cette chambre sans même avoir eu l'opportunité de prévenir mon amoureux de ce changement de programme). Heureusement tout est rentré dans l'ordre : mon amoureux a pu me rejoindre et le personnel de la maternité était là en cas de besoin.
Plus de peur (de stress, d'angoisse et j'en passe) que de mal donc puisque tout va pour le mieux. Et depuis, cette hâte que bébé pointe le bout de son nez est encore plus exacerbée, rendant difficile de se focaliser sur autre chose. J'ai plus que jamais envie de former une famille avec mon amoureux et notre petitou : être enfin tous les trois... Can't wait ! Alors bébé, sors vite s'il te plait !
Et en attendant, pour les quelques personnes qui me font le plaisir de me lire, désolée d'être si dilettante. Je me rattraperai !
Plus de peur (de stress, d'angoisse et j'en passe) que de mal donc puisque tout va pour le mieux. Et depuis, cette hâte que bébé pointe le bout de son nez est encore plus exacerbée, rendant difficile de se focaliser sur autre chose. J'ai plus que jamais envie de former une famille avec mon amoureux et notre petitou : être enfin tous les trois... Can't wait ! Alors bébé, sors vite s'il te plait !
Et en attendant, pour les quelques personnes qui me font le plaisir de me lire, désolée d'être si dilettante. Je me rattraperai !
Je comprends parfaitement cette envie qu'il sorte vite juste pour savoir s'il va bien (en plus de vouloir le connaitre et le serrer fort dans nos bras bien sur ^^).
RépondreSupprimerOn y est presque ! ;)
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